Chez Sewan, les possibilités d’évolution en interne sont nombreuses. De stagiaire à responsable, il n’y a que quelques étapes.
Régulièrement, nous posterons les témoignages de celles et ceux qui ont fait Sewan. Aujourd’hui nous découvrons Sophie Brodard, Responsable SI
Le Code de la ROOT
Depuis mon enfance, je suis passionnée de code. A l’époque, je codais sur un vieil AMStrad. Dès la sortie du BAC, j’entreprends un DUT informatique en apprentissage dans une Start-Up ou je gérais de minis projets SI. Mon apprentissage se consolide en école d’ingénieurs. Je codais alors dans une autre Start-Up des kits de connexions internet (type Club Internet, Neuf Telecom).
L’école Sewan
Après ma formation, j’intègre Sewan en 2009. Je suis recrutée par Alexis et Nicolas pour remodeler complètement le SI « from scratch », pour provisionner les utilisateurs sur des plateformes de téléphonie et configurer les équipements.
Nous n’étions alors que 7 chez Sewan. Tout était à faire jusqu’au choix des technos (même si on avait une petite idée) et on a réussi à sortir la V1 de Sophia, 6 mois après, le 2 juin, jour de mon anniversaire (tu n’auras pas d’excuse pour ne pas me le souhaiter).
Concernant ce nom, je me souviens encore du déjeuner, tous ensemble, pour déterminer le nom au début de projet. Plein d’idées plus ou moins sérieuses ont fusées. David avait même proposé JAFI (Just Another F*cking Interface :D). J’ai moi-même proposé Sophia, étymologiquement « sagesse », mais le sujet était trop vaste pour que le brainstorm s’arrête là. Finalement, faute de réponse définitive, j’ai « temporairement » nommé le projet Sophia dans mon outil de travail… Au moment de la publication, j’ai relancé le sujet du nom, Alexis m’a dit : « Mais pourquoi changer ? Sophia c’est très bien ! ». Et voilà Sophia était née. Finalement, je suis vraiment très honorée. Bien qu’inattendu, ce nom est une vraie forme de reconnaissance…
Sophia évolue, Sophie aussi
C’est incroyable d’avoir pu voir Sewan décoller à ce point, d’avoir pu constater la montée en charge d’un système et l’évolution de Sophia : la première en FLASH avec les techno passerelles AMF et techno Python pour les Web Service et un serveur Mysql pour les BDD. On a sorti une V2, version ultra aboutie de la V1. Ensuite, nous avons enchainé avec la V3 en HTML // PHP tout en conservant la techno Python pour les Web Services. Cette version est celle qui est toujours utilisée et toujours en mouvement.
Me concernant, je suis passée de codeuse omnipotente de Sophia à formatrice de développeurs et développeuse occasionnelle. J’ai laissé Sophia prendre son envol. Aujourd’hui, certains collègues maîtrisent mieux certaines parties que moi, mais je ne peux m’empêcher de surveiller avec bienveillance le code du projet (« mon bébé »), à travers mon travail de Release Manageuse.
En effet, Sewan m’a donné la possibilité de m’essayer au management. Cependant, la fonction était beaucoup moins orientée technique, et ne me passionnait pas plus que ça. Nous avons donc créé le poste de Release Manager qui me permet de continuer à faire quelques DEV, d’avoir moins de tâches managériales, tout en gardant une vue globale sur tous les projets. Au quotidien, en tant que Lead Dev, je suis consultée pour des avis, des analyses sur des chiffrages (en termes de timing et de process) ou sur de l’analyse de bugs. Je fais également de la sur validation de code (pour accepter ou non les mises en production de tel ou tel code), du développement de fonctionnalités et de la correction de bugs
Nous avons des mises en prod presque tous les jours, (JAMAIS LE VENDREDI MALHEUREUX…). Il y a des aspects uniques à prendre en compte comme la marque blanche, le multi-niveaux de revente… Et surtout il y a tellement de données traitées sur certains aspects métier que fatalement, la théorie des grands nombres finit par s’appliquer : « Si le code a un bug avec une chance sur 1 million de se produire… le bug se produira ».
Le SI, si c’est la class
Comme déjà dit précédemment, malgré la croissance de l’équipe, nous sommes toujours une équipe soudée et solidaire ce qui fait qu’il y a une très bonne ambiance au SI.
Chaque code est lu et relu. Si une personne bloque sur l’analyse d’un bug, quelqu’un sera toujours là pour aider, chacun apporte sa pierre à l’édifice et a des vues sur le travail de l’autre. Cela favorise l’apprentissage et surtout l’apprentissage rapide, et il y a tellement de choses à faire que l’on ne s’ennuie jamais
Rejoins-nous
On recherche principalement des personnes qui ont le cerveau bien fait : capables de raisonnements logiques. Quelqu’un qui ne maîtrise pas les technos : ça se forme, lorsqu’on a la logique programmeur le langage n’est qu’un détail. Pour nous rejoindre il faut néanmoins une bonne capacité d’adaptation, de la curiosité, et un sens de l’humour… particulier.
L’anecdote qui tue :
On m’appelle souvent Sophia par erreur ou par humour (voir ci-dessus) … et encore c’est parfois moi-même qui fait le lapsus.